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Témoignage de Wwoofing en Nouvelle-Zélande

Le Wwoofing de Louise en Nouvelle-Zélande

wwoofing avec des moutons

Moi, c’est Louise, j’ai 27 ans. Je suis diplômée d’un master en design interactif, mais à la suite de mes études, je n’avais pas envie de travailler, je voulais faire une pause dans la vie professionnelle avec une année sabatique. Je n’avais pas envie de rentrer dans une routine et pas non plus rentrer dans les obligations sociales (avoir un CDI, trouver un mari, avoir des enfants ect…). Je me décrirais comme une personne solitaire et curieuse.

J’adore voyager, faire des roads-trips et j’intègre toujours le bénévolat à mon voyage. Mais je ne pars pas uniquement pour le bénévolat, je reste environ une semaine dans les familles. Ce qui me permet d’améliorer mon anglais (ou la langue du pays), de découvrir de nouvelles coutumes et de rencontrer des personnes merveilleuses. Je connaissais le Woofing et Helpx/ Workaway avant de partir. J’ai pris connaissance de ces plateformes via des amis et internet. En fonction du volontariat que je veux faire, je choisis soit Helpx (généraliste), soit Wwoof (pour les fermes) ou Workaway (qui demande des compétences spécifiques), je n’accorde pas beaucoup d’importance à la plateforme mais plutôt aux annonces de volontariats et je le choisi au coup de coeur.

Mes tâches quotidiennes pendant mon Wwoofing​

À la suite de mon expérience de Wwoofing en Italie (à retrouver ici) j’ai décidé de repartir l’année suivante en Nouvelle-Zélande. J’ai eu besoin d’un visa (Working Holidays Visa) car il est obligatoire, c’est interdit de faire du volontariat sans permis de travail. J’ai pris l’assurance CCM Assurance, mais heureusement, je n’ai pas eu besoin de m’en servir.

J’ai fait différents volontariats dans plusieurs endroits en Nouvelle-Zélande :

  • Fermes biologiques et pas biologiques
  • Participer aux travaux des champs (désherbage, tailler des arbres, planter des arbres, arroser les plantes, ramasser les olives, trier les olives
  • B&B (femme de ménage)
  • Faire les lits, passer l’aspirateur, laver les vitres, faire à manger et parfois s’occuper des enfants
  • Maisons (jardinage, aide en tous genre à la vie quotidienne des hosts)
  • Refuge d’animaux (je m’occupais des animaux, je nettoyais les cages, je sortais les chiens, je les nourrissais. J’ai appris à tondre des moutons et trier la laine aussi).

Lors de mon expérience au refuge d’animaux, le travail demandé n’est pas forcément physique mais en fonction des activités ça peut être dure physiquement.

Concernant mes horaires de travail, ça dépendait de l’arrangement avec ma famille. En général je travaillais le matin et j’avais mon après-midi de libre. Mais en fonction des besoins, ça pouvait être toute la journée ou pendant un week-end.

Ce que j’aime le plus dans le Wwoofing, c’est découvrir des gens différents et toujours chaleureux et généreux. J’aime sortir de ma zone de confort et être au coeur d’une culture inconnue, faire un travail totalement éloigné du mien à la base. ça me permet de confronter mes idées sur le sens de ma vie.

J’ai choisi de faire du Wwoofing plutôt qu’un job car selon moi, aucun job ne vous sortira de votre zone de confort comme le Woofing / Helpx, Workaway. Comme il n’y a pas de lien de subordination avec le volontaire, le travail est très différent. Quand on n’a pas d’expérience dans le domaine, le volontariat permet aussi de travailler et d’apprendre dans ce domaine (par exemple : tondre des moutons, personne ne m’aurait embauché pour ça car je n’ai aucune expérience).

Si vous êtes débutant, je vous conseillerai de commencer votre première expérience proche de chez vous pour se rassurer et partir qu’une semaine (en Europe par exemple). Vous pouvez partir avec quelqu’un si vous sentez que vous serez plus rassuré. Mais rappelez-vous que vous ne serez jamais seul ! Si vous êtes sociable, vous pouvez choisir des familles avec enfants, ça peut-être plus simple de tisser un lien avec eux et le travail peut-être plus facile (housekeeping / babysitting).

Il faut bien choisir ses hôtes, se mettre d’accord en amont du temps de travail. Attention, certains profitent de cette main d’oeuvre gratuite et peuvent facilement exploiter les volontaires. Dans ce cas-là, il ne faut pas hésiter à partir et à dire NON ! Ne jamais oubliez que personne n’est votre patron.

Vous voulez en savoir plus sur moi, mon parcours, mes voyages et mes expériences, c’est ici : https://louisevoyage.com/ 😉

 

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